Séparons l'homme de l'artiste !

Et Polanski remporta le César du meilleur réalisateur, sous les bravos de la salle. Je ne sais pas si on a le droit d’admirer l’homme, mais on peut admirer ce magnifique bras d’honneur fait par le cinéma aux bien-pensants. Pardon… Aux victimes de violences sexuelles, je voulais dire. J’aime beaucoup cette idée de séparer l’homme de l’artiste. D’ailleurs en prison, on devrait faire des quartiers séparés : d’un côté les hommes, de l’autre les artistes.